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Qu'est-ce que le tourisme durable ?

AU SOMMAIRE 👇 :
Véritable fenêtre ouverte sur le monde, le tourisme offre aux voyageurs l'opportunité unique de découvrir de superbes paysages et de s'immerger dans de nouvelles cultures.

La croissance effrénée de cette industrie clé, de même que les défis environnementaux et sociaux de notre époque, laissent pourtant émerger une vision aussi nouvelle qu’indispensable : le tourisme durable.

Bien plus qu'une simple tendance, ce concept devient impératif pour préserver les destinations prisées, tout en offrant des expériences enrichissantes et authentiques.

Dans cet article, nous nous proposons ainsi d’explorer les fondements du tourisme durable, ses principes fondateurs, et son rôle vital dans la création d'un avenir où voyager ne sera pas seulement un plaisir, mais aussi une responsabilité partagée.

Allez ! Prenez votre sac de voyage personnalisable (bien sûr), on vous emmène faire un tour d'horizon du tourisme durable !

Les grands principes du tourisme durable

L’Organisation Mondiale du Tourisme en propose la définition suivante : « une forme de tourisme qui tient pleinement compte de ses impacts économiques, sociaux et environnementaux actuels et futurs, en répondant aux besoins des visiteurs, des professionnels de l’environnement et des communautés d’accueil. » Cette démarche volontaire et solidaire s’inspire en outre des principes généraux du développement durable.

Le tourisme représente un secteur socio-économique colossal, pour 10% du PIB mondial. Selon un rapport de l’OMT, 1,4 milliard de touristes ont été recensés en 2018, contre 25 millions en 1950 et 800 millions en 2005. 

Si cette croissance exponentielle laisse entrevoir une myriade de possibilités, elle s’accompagne cependant d’un impact bien souvent destructeur sur l’écosystème global d’une région.

Respect de l'environnement naturel et culturel

Consommation accrue des ressources naturelles, pics de pollutions diverses, mise en péril de la biodiversité locale… Le tourisme a des impacts négatifs sur l’environnement, d’autant plus quand 95% des touristes se concentrent sur 5% des espaces du monde, en privilégiant souvent les mêmes périodes de l’année et les zones littorales.

Puisque l'impact négatif du surtourisme se lit d’abord sur l’environnement, le premier pilier du tourisme durable repose sur un respect inébranlable de chaque lieu, et ce qu’il soit attaché au patrimoine naturel ou culturel de la région ou du pays visité. 

C’est la raison pour laquelle certaines destinations touristiques ont décidé d’instaurer des quotas de visiteurs, afin de limiter l’impact de ces derniers sur l’écosystème, comme à Venise, Santorin ou dans les Calanques de Marseille.

Cette démarche implique aussi la mise en place de pratiques respectueuses, par exemple en termes de gestion des déchets, afin d’éviter de transformer les beaux endroits en poubelles à ciel ouvert, alors que ceux-ci se trouvent envahis par le monde et rendus célèbres par les réseaux sociaux.

L’effet Instagram cause ainsi des embouteillages immenses sur la falaise de Nusa Perida en Indonésie, dans les minuscules ruelles des villages des Cinque Terre d’Italie ou sur l’Acropole d’Athènes, ce qui favorise l’apparition de comportements irrespectueux, et aux conséquences non négligeables pour ces lieux.

gorges du verdon tourisme durable
Les Gorges du Verdon, prises d'assaut à la belle saison. (Photo par Natacha de Mahieu pour Fisheye Magazine)

Un autre point clef vise à la protection des sites historiques : en d’autres termes, il s’agit de ne pas se dénuder dans les lieux sacrés de Bali ou de graver ses initiales sur les murs du Colisée !

En 2023, le gouvernement italien a d’ailleurs approuvé une proposition de loi défendue par le Ministère de la Culture, prévoyant des amendes allant de 10 000 à 60 000 euros pour les auteurs d’actes de vandalisme sur des œuvres d’art ou des sites culturels.

Avantages économiques pour les communautés locales

En raison de la forte augmentation du développement touristique pour certaines destinations, on observe aujourd’hui des phénomènes d’inflation des prix du logement et de l’alimentation, allant même jusqu’à chasser les locaux de leur propre territoire, dès lors qu’ils n’ont plus les moyens financiers d’y vivre face aux propositions de rachat ou à la flambée du coût de la vie.

En réponse à ce phénomène, le tourisme durable tend ainsi à la création d’opportunités économiques justes pour les communautés locales. 

En favorisant le commerce de proximité, en encourageant les initiatives entrepreneuriales et en soutenant les petits artisans, cette approche vise à redistribuer les retombées financières du tourisme de manière équitable. 

Il s’agit ici de renforcer les économies locales, tout en préservant l'authenticité des lieux visités.

Crédit photo : Mark de Jong.

Sensibilisation et éducation des voyageurs

Au cœur du tourisme durable, réside enfin l’idée que des voyageurs bien informés sont des acteurs responsables. Son troisième principe met ainsi l'accent sur la compréhension des enjeux, la conservation de l'environnement et le respect de la culture locale. 

Tous ces points font évidemment partie d’une dynamique globale, et contribuent à la création d’une communauté de voyageurs conscients de leur impact, prêts à adopter des comportements responsables tout au long de leur périple.

Bon à savoir : en tant que concept global, le tourisme durable peut ensuite se diviser en plusieurs catégories. On retrouve ainsi différentes formes de tourisme :

  • L’écotourisme, qui se concentre sur les voyages pratiqués en milieu naturel et contribuant de manière active à la protection de la biodiversité
  • Le tourisme social, qui prône des voyages inclusifs et accessibles au plus grand nombre
  • Le tourisme solidaire, tourisme éthique, ou tourisme équitable, lorsqu’une part du prix du séjour se trouve directement investie dans le développement local (notamment dans les pays de l’Hémisphère Sud)
  • Le slow tourisme, pour prendre le temps d’explorer une destination à son rythme

De manière générale, le tourisme durable contribue donc à réduire les impacts négatifs du tourisme de masse sur les populations locales et l’environnement.

schéma tourisme durable
Schémas comparatifs des principes du développement durable et du tourisme durable, relayé par l'Office du Tourisme de Chamrousse.

Comment le tourisme durable contribue-t-il à la protection de l'environnement ?

Fort de ces principes, le tourisme durable se transforme alors en un précieux bouclier pour chaque destination, tout en participant à la protection de l’environnement dans un monde de plus en plus marqué par l’écoanxiété.

La réduction de l'empreinte carbone

Face au réchauffement climatique, l'une des contributions majeures du tourisme durable à cette préservation réside dans la réduction significative de l'empreinte carbone associée aux déplacements. 

En encourageant l'utilisation de moyens de transport à faible impact environnemental (la fameuse mobilité douce !), comme les transports publics, les vélos, ou même à pied, le tourisme durable s'efforce de minimiser les émissions de gaz à effet de serre.

On enfile du coup son

Selon un rapport de l’ADEME publié en 2021, le tourisme contribue à hauteur de 11% des émissions de gaz à effet de serre en France, et 8% chaque année au niveau mondial depuis 2018 !

De la même façon, l'adoption de pratiques d'hébergement respectueuses de l'environnement contribue à atténuer l'impact environnemental global des voyages.

La préservation de la biodiversité

Le tourisme durable se positionne en outre comme un allié de la biodiversité, en mettant en œuvre des mesures visant à protéger les écosystèmes fragiles.

Les sites naturels sensibles sont gérés de manière responsable pour éviter la dégradation de la flore et de la faune locales. Les visiteurs sont également éduqués dès leur arrivée sur l'importance de respecter la faune et la flore indigènes, ce qui réduit les risques de perturbation.

L’Office Français de la Biodiversité explique ainsi le caractère essentiel de la sensibilisation sur le terrain :

Plusieurs opérations sont menées pour former l'ensemble des acteurs aux bonnes pratiques. La réouverture des plages ayant par exemple lieu en pleine période de nidification de certains oiseaux protégés, il est important d'informer les vacanciers sur la cohabitation avec ces espèces vulnérables. Sur plusieurs côtes littorales, des panneaux et des espaces de contournement ont été mis en place pour signaler les nids.”

En soutenant des projets de conservation et en promouvant des activités respectueuses de la nature, le tourisme durable contribue donc à la préservation des habitats naturels.

L'utilisation durable des ressources

Le tourisme durable s'engage enfin à préserver la durabilité des ressources naturelles des destinations visitées. Énergie, eau, matières premières, alimentation… Il s’agit ici de prôner une utilisation mesurée, responsable, ainsi qu’une réduction au maximum des déchets, pour une consommation annuelle raisonnable. 

Les initiatives de recyclage, la promotion de l'efficacité énergétique dans les infrastructures touristiques, et la sensibilisation des voyageurs à la conservation des ressources permettent de garantir une exploitation durable des éléments essentiels à la vie des écosystèmes locaux.

La bonne idée : l’Ouest de la France comptant bon nombre de lieux hautement touristiques, il n’est pas surprenant d’apprendre que certaines municipalités se sont intéressées de près à la thématique d’un tourisme plus responsable.

L’Archipel des Glénans demande ainsi aux visiteurs de ramener leurs déchets sur le continent, quand la ville de Saint-Nazaire, labellisée Pavillon Bleu, met à disposition des visiteurs des “bacs à marée”, qui servent à regrouper les déchets rejetés par l’océan.

La région voit également de nombreux adeptes du plogging, cette discipline venue de Suède et qui consiste à ramasser les déchets tout en courant !

Quels sont les bénéfices économiques et sociaux du tourisme écolo ?

Selon une étude menée par Kantar et l’ADN en 2021, 64% des Français sondés se déclaraient « concernés » par le concept de tourisme durable, quand deux tiers prenaient effectivement en compte les critères de ce dernier au moment de réserver leurs vacances.

Création d'emplois locaux

Le tourisme écologique favorise la création de millions d' emplois à travers le globe et au niveau local, tout en stimulant la diversification et le développement du commerce de proximité dans les lieux touristiques. 

La spécificité de cette démarche ? L'émergence de professions respectueuses, à l'impact positif. 

De plus, les activités axées sur la préservation de l'environnement nécessitent souvent du personnel local pour guider les visiteurs, gérer les hébergements, organiser des activités écologiques, etc.

Renforcement de l'économie locale

Le tourisme durable encourage en outre les visiteurs à dépenser leur argent localement, ce qui stimule aussi l'économie régionale. Les petites entreprises, telles que les restaurants, les boutiques artisanales, les guides locaux et les hébergements locaux, bénéficient directement de l'afflux de touristes et des retombées économiques associées. 

En d’autres termes, ces derniers vont vivre les producteurs et les commerçants, à condition qu’ils prennent l’habitude de consommer auprès d’eux !

D’autre part, la viabilité économique à long terme du tourisme incarne un facteur de croissance pour les pays en développement comme pour les pays développés. Le tourisme durable doit cependant stimuler l’entrepreneuriat, ou encourager les investissements dans d’autres infrastructures, afin de réduire la dépendance du pays à une seule industrie

L’exemple de Bali est ici particulièrement parlant, alors que son gouverneur déclarait en 2020 que le tourisme représentait à lui seul environ 60% du produit régional brut de l’île.

Valorisation du patrimoine culturel et historique

Le tourisme responsable met enfin l'accent sur la préservation des ressources patrimoniales, ainsi que sur la promotion d'une interaction respectueuse avec les populations locales. Les visiteurs sont encouragés à apprendre et à respecter les traditions, le folklore et le patrimoine partagés par la communauté dont ils visitent le lieu de vie.

Comment voyager de manière durable et éco-friendly ?

Voyager de manière durable et éco-friendly implique une prise de décisions conscientes pour minimiser son impact environnemental. Nous vous proposons ici de découvrir quelques conseils et autres bonnes pratiques pour un séjour green.

Choisir des moyens de transport responsables

  • Privilégiez les modes de transport low-carbone, tels que le train, le bus, la voile, le van, le vélo ou vos jambes ! De nombreuses ressources proposent aujourd’hui des itinéraires garantis sans avion, comme le site Hourrail, l’application Mollow, ou même de nombreux guides au format papier, à l’instar du Voyages zéro carbone (ou presque) de Lonely Planet

La chaîne Youtube de Hourrail propose de nombreux témoignages et interviews autour du voyage durable :

  • Si vous devez absolument emprunter le transport aérien, optez pour des vols directs plutôt que des vols avec escales, car les décollages et atterrissages sont les phases les plus énergivores
  • Compensez les émissions de carbone de votre voyage en investissant dans des projets liés pour le développement durable : c’est l’objectif de Greentripper, qui propose le calcul d’impact CO2 pour chaque moyen de transport

Choisir des hébergements écologiques

  • Séjournez dans des établissements certifiés écologiques, ou ayant des politiques environnementales claires. S’il n’est pas facile de se retrouver parmi tous les labels existants, sachez que ces derniers sont présentés et recommandés dans une section dédiée sur le site de l’ADEME : Écolabel européen Hébergement touristique, La Clé Verte, Gîte Panda, ATR, Hôtels au naturel, Écogites, Camping Qualité, etc. Au niveau mondial, on peut citer Green Globe, TravelLife, BiosphereTourism, Fair Traid Tourism… La plupart de ces labels sont conformes aux recommandations du Global Sustainable Tourism Concil, qui cherche à en définir les standards internationaux.

  • Privilégiez les hébergements locaux, tels que les maisons d'hôtes, les Bed & Breakfast ou les hôtels indépendants, qui ont souvent un impact moindre sur l'environnement que les grandes chaînes hôtelières. Les plateformes françaises Greengo ou Ethik&Trips proposent différentes solutions de logement, du chalet à l’éco-lodge, en passant par le gîte, la cabane dans les arbres ou la tiny house !

labels tourisme durable
Un aperçu des différents labels liés au tourisme durable.

Consommer local durant son séjour

  • Favorisez les produits et les marchés locaux pour soutenir l'économie de proximité, et ainsi réduire l'empreinte carbone liée au transport des marchandises
  • Mangez dans des restaurants locaux qui utilisent des ingrédients de saison et régionaux
  • Évitez les produits à usage unique, et privilégiez les contenants réutilisables : si une directive européenne édictée en 2020-2021 interdit désormais la mise à disposition et sur le marché de nombreux objets en plastique à usage unique, ce n’est pas encore le cas dans tous les pays du globe : à vous de donner l’exemple !
  • Privilégiez l’achat de souvenirs fabriqués sur place et/ou par des artisans locaux

Adopter des pratiques de voyage responsables

  • Respectez la nature en évitant de perturber la faune et la flore locales : restez sur les sentiers balisés et à distance des animaux sauvages, limitez les cris et la musique dans un souci de discrétion, n’arrachez pas les plantes pour les ramener chez vous… Le programme Sans Trace propose un résumé des principes essentiels à observer dans un environnement naturel
  • Intéressez-vous aux labels de tourisme et aux engagements des différents endroits à découvrir dans la destination choisie, comme NF Environnement Sites de visite, Valeurs Parc Naturel Régional, l’Ecolabel Pavillon bleu ou le Flocon vert.
  • Économisez l'énergie en éteignant les lumières et les appareils électroniques lorsqu'ils ne sont pas nécessaires
  • Refusez les activités touristiques polluantes, ou irrespectueuses envers les animaux (que ce soit en pleine nature, ou en structure de type zoo ou aquarium)
  • Voyagez hors saison dans la mesure du possible
  • Rapprochez-vous des offices de tourisme, qui auront de nombreuses suggestions à vous faire en fonction de vos envies ! Il existe aussi des agences de voyage engagées, qui pourront vous tailler un voyage sur mesure, aligné sur vos valeurs. L’expertise de ces acteurs du tourisme durable s'avère ici précieuse.
  • Réduisez vos déchets en évitant les articles à usage unique et en recyclant lorsque possible (vous pouvez même loger vos contenants dans votre sac à dos made in europe ;) )

Exemples de pratiques du tourisme durable en France

Nous avons la chance de vivre sur un territoire offrant une richesse infinie de paysages, d’identités et de contrastes. Si vous êtes en manque d’idées pour vos prochaines vacances, nous vous proposons ici quelques pistes : suivez le guide !

Bon à savoir : la France reste la première destination touristique au monde, avec 75 millions de visiteurs et touristes internationaux accueillis en 2022.

Écotourisme dans les Alpes

Destinations nature par excellence, nos belles montagnes offrent de superbes occasions de mettre en application les principes du tourisme durable.

Aujourd’hui plus facilement accessibles, ifférentes stations se sont associées avec des plateformes de mobilité douce (La Clusaz et Mov’ici), quand d’autres organisent de multiples actions en faveur de l’environnement, comme des balades anti-déchets à la fonte des neiges.

Les régions s’organisent aussi pour proposer des circuits de randonnées éco-friendly tout au long de l’année.

Cela passe notamment par l’emploi de guides formés aux spécificités de l’écosystème local, par l’emploi de matériel de montagne de seconde main (sans lésiner pour autant sur la sécurité) et/ou fabriqué en France, ainsi que par la redéfinition d’itinéraires à l’impact minime sur la faune et la flore : pas question de déranger les chamois ou les marmottes !

Certains en profitent même pour organiser des excursions éducatives sur la biodiversité alpine et les initiatives de conservation des espèces. 

De la même façon, de nombreux refuges de montagne s’inscrivent dans une démarche écologique : travaux et dispositifs d’assainissement, utilisation de panneaux solaires thermiques ou photovoltaïques, limitations des rotations par hélicoptère pour le ravitaillement…

Le site à consulter : celui de l’association Alpes Là, fondée en 2018, et qui a pour objectif de « proposer et promouvoir des initiatives répondant aux enjeux spécifiques des territoires (…), contribuant au respect de l’environnement et à la construction d’un présent dynamique et d’un futur soutenable. »

Agritourisme en Provence

Le Sud de la France, ses cigales et ses champs de lavande invitent également à ralentir et à profiter des paysages. Ici encore, vous pouvez sans problème vous y rendre par la voie ferrée, avec un objectif à l’arrivée : dormir et bien manger, ce qui tombe plutôt bien lorsqu’on parle d’agritourisme !

En proposant des séjours incluant une participation aux activités agricoles ou de la ferme, et des dégustations de produits locaux, les hébergements ajoutent leur pierre à l’édifice et à une bonne démarche de tourisme. Les structures en profitent également pour sensibiliser les visiteurs aux différentes pratiques durables à mettre en place, et ce à tous les niveaux : culture, soin des animaux, production, récolte, consommation

Séjour au milieu des oliviers, balade avec les ânes, galop dans les collines, bivouac ou découverte des rizières de la Camargue… Il y en a pour tous les goûts !

D’autres organisent des circuits gastronomiques pour mettre en avant les produits du terroir, en incluant des visites de marchés locaux et de producteurs certifiés bio.

Le bon plan : dédié au tourisme rural, le site Bienvenue à la Ferme recense de nombreuses solutions d’hébergement dans la région PACA (mais pas seulement !), ainsi que de bonnes adresses pour se restaurer ou acheter des produits fermiers.

Tourisme participatif en Bretagne

Last but not least, l’Ouest de la France offre également de fantastiques opportunités pour le tourisme durable, mais également pour un de ses cousins : le tourisme participatif. De quoi s’agit-il ? Ce concept repose sur une interaction sociale renforcée entre le visiteur et le résident, dans une visée de voyage alternatif. 

Dans la pratique, cela repose sur la participation des touristes à certains projets communautaires locaux, tels que des initiatives de préservation de l'environnement, des actions sociales ou des projets artistiques. 

Les communes et autres structures administratives organisent aussi des événements pour favoriser les échanges culturels et l’interaction avec les communautés, par exemple autour de la langue bretonne, comme le propose le festival “Gouel Broadel ar Brezhoneg”, qui se tient chaque été à Langonnet, dans le Morbihan ; ou du folklore local, à la découverte de la magique forêt de Brocéliande, des korrigans ou des contes de village.

Le guide à consulter : Bretagne : rendez-vous en Breizh inconnue, dans la collection des guides Pétaouchnok, créée par Antoine Delaplace et Raphaël de Casabianca, le présentateur de l’émission « Rendez-Vous en terre inconnue ». Ces ouvrages proposent “une manière différente de voyager, avec un maximum d’expériences et de nombreux conseils pour un tourisme responsable”.

Le tourisme durable se présente ainsi comme une réponse proactive aux défis environnementaux contemporains, et face à une planète qu’il convient à tout prix de préserver. Alors, prêts à agir pour un tourisme responsable et à embarquer dans votre prochaine aventure verte ?

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